Rouge : couleur de colère et de pollution
Août12

Rouge : couleur de colère et de pollution

L’acteur Farid Bentoumi s’est imposé comme réalisateur par des courts-métrages remarqués tel Brûleurs, 2011, avant de défendre les couleurs de ses racines algériennes dans Good Luck Algeria, 2016. Cette comédie, basée sur l’histoire de son frère, candidat aux Jeux Olympiques d’hiver en portant le drapeau algérien, pouvait amuser à bon compte. Mais cette année, le cinéaste né en France, voit Rouge, en...

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L’indomptable feu du printemps : visions de cinéma au Lesotho
Juil27

L’indomptable feu du printemps : visions de cinéma au Lesotho

Des auteurs vivent le cinéma comme un terrain d’expérimentations aventureuses, de poésies visuelles. C’est pour ça qu’on a remarqué Lemohang Jeremiah Mosese dès ses courts-métrages puis For Those Whose God Is Dead, 2013, et son film performance, Mother, I Am Suffocating. This Is My Last Film About You, présenté à la Berlinale 2019. Servi par une image noir et blanc saisissante, il épouse le long cheminement...

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Le Mandat (Mandabi), d’Ousmane Sembène : le prix de l’émancipation sénégalaise
Juin29

Le Mandat (Mandabi), d’Ousmane Sembène : le prix de l’émancipation sénégalaise

Alors que la production des images africaines s’amplifie, dopée par les nouvelles technologies et la diversité des supports, il semble utile pour aller plus loin, de mieux évaluer l’apport des pionniers. Le plus en vue est sans doute Ousmane Sembène, connu pour avoir ouvert la voie du cinéma sénégalais, et au-delà, valoriser la percée du 7ème art de l’Afrique de l’Ouest après les indépendances. Inaugurée avec...

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Shorta : traques en cité au Danemark
Juin22

Shorta : traques en cité au Danemark

La société danoise a beau se préserver des étrangers, ils déboulent dans les films de genre pour faire exploser les nerfs et la cité. On le mesure avec Shorta, un polar nerveux et haletant, servi par Anders Olholm et Frederik Louis Hviid. Les deux réalisateurs frappent le Danemark avec une histoire tendue, située dans une cité métissée (fictive) de Copenhague où les policiers ne sont pas les bienvenus. Le détonateur de l’action...

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143 rue du désert : contempler la poussière du temps algérien
Juin15

143 rue du désert : contempler la poussière du temps algérien

Les cinéastes algériens s’aventurent volontiers vers le sud pour y camper leurs histoires. Amin Sidi-Boumédiène y traque le fantôme d’un terroriste pour Abou Leila, 2019, après Merzak Allouache et le héros perturbé d’un village sahélien de Vent divin, 2018, précédés par Karim Moussaoui qui suit l’incartade esquissée d’anciens fiancés au désert, dans la deuxième partie de En attendant les hirondelles,...

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