The last of us : spiritualiser les migrations tunisiennes
Le cinéma d’auteur creuse son sillon en Tunisie, sans se départir d’un ancrage souvent critique dans le réel. Mais il y a d’autres chemins comme celui qu’emprunte Ala Eddedine Slim avec The last of us, 2016. Pour son premier long-métrage, primé à la 73ème Mostra de Venise, aux JCC de Tunis comme aux African Academy Movie Awards, le réalisateur tunisien conçoit un scénario qui s’écarte des sentiers battus. Après avoir participé au...